Finaliste à trois reprises de la Champions Cup (2016, 2018 et 2020), le Racing 92 entretient une histoire profonde avec cette compétition. Et les Ciel et Blanc sont bien décidés à accrocher une première étoile sur leur maillot, le 23 mai prochain à l’Aviva Stadium de Dublin.

Le 10 décembre prochain, dans son antre de Paris La Défense Arena, le Racing 92 débutera sa campagne 2022/2023 de la Champions Cup par un véritable choc, face à la province irlandaise du Leinster Rugby. « C’est un match de phases finales avant l’heure. On a déjà perdu en finale contre eux (à Bilbao en 2018). C’est une équipe finaliste quasiment tous les ans. On a un gros challenge qui se présente à nous mais on a à cœur de relever cet immense défi. Les joueurs du Leinster sont toujours très propres sur les phases de conquête, dans les rucks. Leur jeu est précis mais il faut arriver à les faire déjouer », a expliqué le talonneur du club francilien Camille Chat lors du lancement de la saison.

Après trois finales disputées en Champions Cup (2016, 2018 et 2020), les Ciel et Blanc sont bien décidés à accrocher une première étoile sur leur maillot, le 23 mai prochain à l’Aviva Stadium de Dublin. « La Champions Cup nous anime. On court après depuis des années… On a disputé trois finales, on dispute régulièrement les phases finales. C’est un moment toujours particulier pour notre club. On sent que notre groupe change de dimension au moment de disputer cette épreuve. La concentration monte d’un cran. Tous les joueurs veulent ce titre », insiste l’international français âgé de 26 ans.

Homme fort du pack du Racing 92, Camille Chat a également confié son impatience de croiser les franchises sud-africaines, peut-être lors de la phase à élimination directe. « On est excités par ce nouveau format qui s’agrandit. La tension monte d’un cran. Il y a une vraie impatience d’affronter les équipes sud-africaines pour rivaliser. Ça va donner une nouvelle dimension à cette compétition », souligne le joueur français ayant disputé 42 rencontres de Champions Cup.